Quand on fait passer nos besoins en premier.
Ce billet est le sixième d’une série de billets sur une réflexion quant au déclin de la civilité en général. Ces billets devraient être lus dans l’ordre de leur publication. Commencer par le 6ᵉ par exemple ne ferait aucun sens pour le lecteur. Bonne lecture!
Quand on parle de besoins, je réponds présent! Si vous arrivez à me nommer une journée où vous n’avez pas fait passer vos besoins avant celui des autres, je demande à voir les enregistrements vidéo! En fait, il ne se passe pas une journée où l’on fait passer nos besoins en premier.
Dans le cas de la civilité, ce n’est pas de faire passer ses besoins personnels en deuxième, mais simplement de ne pas transformer l’espace commun en arène de combat. Il est possible, dans toutes les situations et ce, sans exception, de faire passer nos besoins et ceux des autres en premier. Comment? Eh bien, c’est ce que nous allons voir dans les prochains billets.
Avant de passer à la suite, je dois avouer qu’il existe une exception à la règle. Là où les ressources ne sont pas en quantité suffisante pour tous, là où le partage équitable devient quasi impossible de par nos normes sociales, là où la peur de la privation domine les esprits, toutes ces situations décrivent la même exception, le manque de ressources. Il est évident que dans un contexte comme celui-ci, vivre ou se laisser mourir, il est impossible pour moi de reprocher quoi que ce soit à qui prendra telle ou telle décision. La surpopulation restera toujours pour l’humain son plus grand danger.
À suivre…
-Danny
Je suis Danny (alias CoachDanny). J’ai une passion: l’humain. Venez avec moi et prenez cette minute tous les jours pour explorer ce qui se passe aujourd’hui et pourquoi ça fait parler. Cliquez ici pour obtenir votre réflexion quotidienne juste à temps pour le petit déjeuner.
Sources: https://solomotivation.com
Last Updated on 12 mai, 2021 by Coach Danny