Quand on doit prendre conscience du monde.
Je vous invite à lire le billet d’hier avant celui-ci.
Dans un contexte politique, le contexte de la peur de mourir est le plus puissant. D’un côté, nous avons les citoyens qui veulent survivre, les parents qui veulent que leurs enfants survivent, les enfants qui veulent que leurs parents survivent, etc. Au Québec, nous avons modifié la loi pour assouplir l’aide à mourir de manière médicale. Malgré tout, même cette situation me perturbe au sens où cela nous fait réaliser que nous ne sommes, dans les faits, pas libres de mourir. Comment cela est-ce possible? Je me le demande. Si, par exemple, des religieux souhaitent ne pas utiliser un service d’aide à mourir, soit, mais en quoi peuvent-ils s’opposer à ce que d’autres ne puissent pas l’utiliser? En quoi est-ce qu’une personne qui décide d’annoncer son intention de décéder à ses proches ne peut pas être satisfait? Est-ce que la liberté ne va pas de la création ou naissance jusqu’à la mort?
On peut donc dire que si quiconque dans une société peut s’opposer à la volonté d’une personne de mourir, il n’est nullement nécessaire de considérer d’autres options que la survie à tout prix. Un dirigeant peut donc en toute assurance baser ses décisions de manière forte sur la survie de la population sans considérer de demander l’avis que quiconque.
À suivre…
-Danny
Je suis Danny (alias CoachDanny). J’ai une passion: l’humain. Venez avec moi et prenez cette minute tous les jours pour explorer ce qui se passe aujourd’hui et pourquoi ça fait parler. Cliquez ici pour obtenir votre réflexion quotidienne juste à temps pour le petit déjeuner.
Sources: https://solomotivation.com
Last Updated on 12 mai, 2021 by Coach Danny