Quand on doit com­battre nos peurs.

Écou­té en écri­vant ce post, essayez en le lisant: o)

Ce billet est le qua­tor­zième d’une série de billets sur une réflexion quant à notre capa­ci­té à évo­luer socia­le­ment. Ces billets devraient être lus dans l’ordre de leur publi­ca­tion. Com­men­cer par le 6ᵉ par exemple ne ferait aucun sens pour le lec­teur. Bonne lecture!

Nos peurs. Nos craintes. Nos démons. Com­ment les affron­ter? Doit-on les affron­ter? Et si on repre­nait l’histoire de notre petite com­mu­nau­té? Dans l’un des billets pré­cé­dents, nous décri­vions le contexte où une com­mu­nau­té aurait assez d’individus pour sub­ve­nir aux besoins, disons du double, des indi­vi­dus de la communauté.

Cela ferait en sorte que, pour dif­fé­rentes rai­sons que nous ver­ront, cer­tains indi­vi­dus occu­pe­raient la majo­ri­té de leur temps à com­bler leurs besoins, ain­si que ceux de la com­mu­nau­té, tan­dis que d’autres pei­ne­raient à trou­ver des occu­pa­tions qui contri­buent à la sur­vie du groupe.

Est-ce que vous voyez où cela nous mêne? Pas encore? Conti­nuons. Dans un contexte où tout est une ques­tion de sur­vie, on peut croire que l’intérêt des indi­vi­dus sera avant tout d’assurer la leur. Un jeu de pou­voir est en train de se mettre en place. Le jeu de l’équité, le jeu de qui contri­bue le plus que d’autres.

Si on pre­nait les éche­lons de nos besoins fon­da­men­taux, on arri­ve­rait rapi­de­ment à ce qu’on pour­rait consi­dé­rer une chaine ali­men­taire, où les plus forts dominent les plus faibles, où les mieux posi­tion­nés dominent ceux qui le sont moins.

À suivre…

-Dan­ny

Je suis Dan­ny (alias Coa­ch­Dan­ny). J’ai une pas­sion: l’humain. Venez avec moi et pre­nez cette minute tous les jours pour explo­rer ce qui se passe aujourd’hui et pour­quoi ça fait par­ler. Cli­quez ici pour obte­nir votre réflexion quo­ti­dienne juste à temps pour le petit déjeu­ner.

Sources: https://solomotivation.com

Last Upda­ted on 3 novembre, 2020 by Coach Dan­ny