Quand on en a rien à faire
Il semble bien que la twittosphère américaine (et canadienne) ne s’intéresse pas au conflit iranien. Pensons-y un peu. Je n’oserais pas tirer de conclusion d’aucune sorte sur les raisons de ce désintérêt, mais j’ai une impression de déjà vu.
Dans des billets précédents, nous avons souvent vu la dualité entre des sujets plutôt sérieux, voir dramatiques, et la capacité de s’évader dans des sujets plus légers. Encore une fois, j’ai l’impression qu’on assiste à un autre épisode de la sorte. Sans dire que nos dirigeants n’ont pas d’intérêts dans la chose, bien au contraire, on pourrait avoir l’impression qu’ils sont laissés à eux même pour écrire les prochaines pages d’histoire. Mais est-ce bien le cas?
Dans une majorité de sujet touchant un grand nombre de personnes, on pourrait appliquer une distribution des attitudes (sans oublier que le tout est en 4, voire 5 dimensions et comporte un certain aspect polychronique) aux individus potentiellement impliqués, mais surtout informés de la situation. Une distribution normale serait tout à fait envisageable et nous amènerait à une vaste majorité (environ 70%) de gens passifs, plus ou moins attentifs, nous laissant un groupe divisé en deux factions: ceux qui acceptent et ceux qui refusent. Je serais curieux de mettre ce modèle à l’épreuve. Qu’en pensez-vous?
-Danny
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Last Updated on 23 janvier, 2020 by Coach Danny